Une journée avec Monsieur de Langon, baron d’Uriage (2/2)

Dans la première partie de cet article sur le dernier baron d’Uriage, nous avons abordé sa personnalité, son éducation et ses influences politiques au tournant de la Révolution française.

Penchons-nous à présent sur son quotidien de « bourgeois gentilhomme », entre l’activité urbaine de Grenoble et la pastorale Uriage à la fin du XVIIIe siècle.

À partir du début du XVIIe siècle, à Grenoble comme dans d’autres villes et capitales régionales françaises, sont effectués des agrandissements. C’est le gouverneur du Dauphiné et futur connétable de France, Lesdiguières, qui mène ici ces travaux orientés sur l’embellissement et l’extension de la vieille ville. Celle-ci est alors généralement décrite comme sombre et peu engageante, voire insalubre à certains endroits. Ce sont à cette époque les rues Créquy, Saint-Jacques, Neuve, de Sault et de Bonne qui naissent, dont certaines sont pavées et la plupart encadrées d’hôtels particuliers où nichera la noblesse locale. Malheureusement, ce mouvement urbaniste s’arrête là pour Grenoble, qui conserve alors par ailleurs des rues sombres, en terre battue et à l’aspect médiéval.

Habitat

La famille Langon, quittant les rues du centre, suit la vague nobiliaire pour s’installer dans la nouvelle rue « Créquy » (actuelle rue de la Poste) au cœur de ce nouveau quartier dans lequel la moitié de la noblesse grenobloise vient migrer. Situé à l’époque à proximité de l’hôpital de la Charité et du couvent des Carmélites, il offre une vie spirituelle importante et reste accessible à pied du reste de la ville.

Notre Nicolas François de Langon devient propriétaire de sa « demeure habituelle dans la ville » en 1785. Il vit ainsi dans l’hôtel particulier familial et à proximité d’autres « grands grenoblois » comme le marquis de Marcieu, gouverneur de la ville à partir de 1750, ou encore du Baron des Adrets qui est dans la rue Neuve. Ayant depuis son enfance vécu dans ce milieu, dans lequel il rencontre des parlementaires nobles, il est possible que cette proximité ait contribué à orienter le jeune Langon vers une carrière politique.

D’après le registre de la capitation sur les domestiques, la maison Langon se situe au centre de la rue: coutume habituelle dans l’urbanisme du XVIIIe siècle, symbolisant le rôle central et ancien de la noblesse, reléguant la bourgeoisie et l’artisanat aux extrémités. Dans sa rue, Langon est le plus imposé pour ses domestiques, ce qui signifie que la maison dispose d’un niveau de vie toujours plus que confortable.

La coutume veut qu’en cette fin de siècle une grande partie de la noblesse loue ses biens voire soit elle-même locataire plutôt que d’user de propriétés éparpillées et coûteuses à long terme. Ainsi, parmi les parlementaires grenoblois, près de 60% sont locataires2. Ce n’est pas le cas de Langon, qui héberge même sa sœur et sa nièce dans son hôtel particulier, après le décès de son beau-frère.

L’hôtel particulier Langon possède deux étages (trois niveaux); sa façade, construite en calcaire de la région donne directement sur la rue. Ici dans cette extension du centre-ville, point de place pour une cour, un portail à carrosse ni un couloir menant sur un jardin d’agrément. La maison ne répond pas au canon parisien « entre cour et jardin » et ce modèle n’est d’ailleurs pas à la mode dans la capitale alpine3.

À l’arrière de ce bâtiment se trouve un jardin, dont le mur s’ouvre sur la rue de Sault par un portail. Cet espace est véritablement le lien entre la maison et la rue. Dans ce jardin se situe deux remises contenant les « voitures » du ménage, ainsi qu’un bûché qui contient le bois nécessaire à la moindre tâche ménagère.

À l’intérieur, on observe deux espaces distincts:

  • contrairement à bon nombre de résidences urbaines nobles, le rez-de-chaussée sert de lieu de vie, en l’occurrence à la veuve Marnais et à sa fille. On y compte six pièces (dont cuisine, chambre avec cabinet de rangement, salle de bain et un salon de réception) qui permettent aux Marnais de continuer à mener un train de vie mondain;
  • aux étages (restes de « l’étage noble ») résident les Langon à proprement parler. Dix-sept pièces réparties sur deux niveaux: un espace considérable – en adéquation avec ses moyens financiers – et pas encore « bourgeois », considérant que la plupart des grenoblois de l’époque se satisfont d’une seule pièce à vivre.

Ce premier étage est réellement là où N. F. de Langon reçoit ses visiteurs; et plus précisément dans son cabinet donnant de plain-pied sur le jardin et contenant une partie de sa bibliothèque personnelle4. On trouve également à cet étage: un salon de compagnie, donnant sur un autre cabinet, deux chambres côte à côte (non attribuées, mais l’une contenait les habits du fils Langon à l’inventaire révolutionnaire), puis une chambre des filles Langon avec sa « petite pièce » de rangement attenante.

Le second étage est entièrement réservé à la vie privée de la famille et aux domestiques: une première chambre, qui donne sur une autre « pièce » contenant un lit (pour un domestique ?), puis deux chambres en enfilade (dont une petite), un garde meuble puis une dernière chambre. À cet étage se trouve aussi la bibliothèque plus « personnelle » du sieur Langon.

Cet agencement semble typique de ce qui se pratique alors chez les familles nobles grenobloises; à l’exception du rez-de-chaussée, quelque peu « arrangé » pour accueillir les Marnais.

Le château

Et le château d’Uriage, dans tout cela ?

Vue générale au début du XXe siècle, tel que les comtes de Saint-Ferriol nous l’ont légué. L’Orangerie fut le dernier ajout, au XIXe siècle.
Photo: domaine public.

Pour les Langon, le foyer de Grenoble est une « demeure » et Uriage est un « séjour »; la double résidence « entre ville et campagne » est déjà largement pratiquée au sein de la noblesse. Prenant exemple sur les philosophes des Lumières, on s’inspire de la campagne pour se « rafraîchir l’âme » ou « endormir ses peines ». La Fontaine, un siècle plus tôt, ne différenciait-il pas déjà les « maux » des villes et les « attraits » des champs ?

C’est donc au moment des récoltes que, dès que l’air se réchauffe à Grenoble, Langon quitte les rues étroites de la ville pour se rendre à Uriage. Ce phénomène élitaire est aussi une imitation des anciens courtisans qui quittaient les cours au mois de juillet pour permettre à la vie politique de reprendre son souffle et à la vie urbaine de ralentir dans tout le royaume afin de libérer des bras pour les champs.

L’amélioration du réseau routier au XVIIIe siècle, des villes vers les montagnes, nous laisse penser qu’il se rend par ailleurs assez régulièrement dans sa résidence secondaire.

À tout seigneur, tout honneur: les Langon ont leur château féodal et on peut raisonnablement avancer que – à part en ce qui concerne l’orangerie (qui n’existe pas encore) et quelques fenêtres basses – le château a, au temps des Langon, la même allure qu’aujourd’hui. Son usage cependant est assez différent: un « appartement » (du « gardien » des lieux ?) est situé à l’entrée de la « basse-cour » (à présent appelée « cour d’honneur ») dans le châtelet d’entrée; un hangar à « voiture », un grenier à foin, une écurie et un « déchargeoir » complètent la description d’époque. Un poulailler et des rangements extérieurs sont accolés au bâtiment.

Les intérieurs comportent quarante-quatre pièces principalement réparties sur deux niveaux habités. La porte battante de « châteauneuf » ouvre sur 24 pièces: cuisine et sa pièce d’évier et dépendance, vestibule, « salon à manger », cabinet de rangement, cabinet de travail, salle de réception, cabinet de loisir et « office » de la maison (où mangent les domestiques) forment le plus gros du rez-de-chaussée utilisé par la famille. On apprend que, dans ce rez-de-chaussée, « du côté du couchant » se trouvait une pièce « ayant servi de chapelle » et situé près d’une grande salle éclairée par trois fenêtres vitrées5.

L’inventaire révolutionnaire du 17 nivôse de l’an II (6 janvier 1794) nous apprend qu’une pièce était déjà dédiée à des collections personnelles au temps des Langon: notamment une « Grande salle antique » du rez-de-chaussée de « châteauvieux », par laquelle on accédait via le vestibule toujours utilisé aujourd’hui. Autour de cette salle étaient disposées des chambres d’invités et des « cabinets » où logeaient certainement des domestiques de passage.

Ici aussi, la spécialisation des pièces — coutume du siècle venue des villes — a pénétré jusque dans les campagnes iséroises. Salon d’apparat, salle à manger, chambres à coucher, vestibules, cuisine, bibliothèque et bureau semblent à présent nettement définis au sein des trois bâtiments principaux qui composent le château (« châteauneuf », « galerie » et « châteauvieux »). C’est à ce moment que les pièces du château commencent à rapetisser et à se multiplier, car on abandonne progressivement les grandes salles difficiles à chauffer pour des chambres, salons, bureaux et boudoirs bien plus confortables et à même de loger le personnel nécessaire, selon les dernières normes.

Une chose unit alors les habitats Langon du centre-ville et d’Uriage: l’organisation de l’espace intérieur en trois parties et fonctions distinctes; réception ou travail, vie privée, services1. C’est un nouvel art de vivre qui se met en place, porté par une industrialisation naissante et des activités politiques centrées sur la proche cité (et de moins en moins sur Versailles). Praticité et confort deviennent les maîtres-mots dans le château médiéval qui s’adapte en accueillant les termes « dépendance », « évier », « salon de compagnie » ou encore « déchargeoir à linge sale ».

Le confort avant toute chose

Tout comme à l’ère du « changement climatique », la notion de confort passe par l’envie d’un hiver « au chaud » et d’un été frais. En ce qui concerne l’usage du XVIIIe siècle, la fraîcheur est garantie par l’épaisseur des murs et la verdure — moins prononcée qu’à présent — des environs agricoles.

Durant le long hiver qui caractérise les Alpes à cette époque, la recherche de chaleur au sein des foyer demande une technicité un peu plus poussée. À Uriage, les quarante et une pièces habitées sont chauffées par dix-sept âtres. Des cheminées ont ainsi dû être percées car, en plus des onze chambres bénéficiant de cette modernité (dont deux réservées aux domestiques), ce sont aussi la cuisine du rez-de-chaussée de « châteauneuf », la salle à manger, la pièce de réception, un cabinet de divertissement et d’étude, un office et une « grande salle » qui sont équipées du tison salvateur.

C’est à cette époque que se généralise l’utilisation d’écrans de cheminées, souvent faits de tapisserie encadrée de bois de noyer, ou bien en soie, en taffetas, ou encore en « carton ». Placés devant le foyer, ils empêchent soit un excès de chaleur, soit le vent froid de se disperser dans une pièce. En retenant l’air sur un mur, une fenêtre, une porte ou entre deux pièces, tentures, rideaux, boiseries et tapisseries complètent l’apanage du dispositif esthétique anti-froid au château.

Le poêle, arrivé d’Allemagne au XVIIe siècle, est un élément plus facile à installer dans la demeure du centre-ville, ainsi Langon en dispose quatre Rue Créqui. Un seul est présent au château à cette époque, dans la salle à manger du rez-de-chaussée de « châteauneuf » et aucun n’est rajouté dans les chambres restantes sans cheminée. Les fourneaux d’Uriage, actifs jusqu’au début du XIXe siècle, fourniront ainsi la famille en charbon.

Lumière !

C’est Langon qui, à partir de 1750, fait installer le verre sur plupart des ouvertures du château. Mais, étant donné son coût, cette installation se fait progressivement. Certaines ouvertures « mineures » sont probablement encore munies de verre bleuté « de France », de toile ou de papier huilé.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les fenêtres étaient fabriquées dans des ateliers comme celui-ci. Atelier de graveur, doté de châssis de fenêtres garnis de papier huilé, vers 1643.
Image: gravure d’Abraham Bosse / domaine public.

La lumière artificielle permet alors de compenser l’insuffisance de transparence des fenêtres et de prolonger les journées, en travail ou en divertissement.

Les trumeaux sont des miroirs appliqués sur des montants de cheminées qui participent également à donner une impression d’espace et reflètent la flamme des bougies posées à proximité. À Uriage, le seul trumeau inventorié vaut environ 40% de tout le mobilier d’apparat du salon. Comme à Grenoble, cette mode parisienne n’est pas parvenue à s’imposer largement dans la région et l’on utilise encore des bougeoirs et chandeliers dans toutes les pièces. On sait que dix chandeliers servent quotidiennement à Uriage, plus six en argent haché, qui sont rangés dans un cabinet près de la salle à manger.

Hygiène et beauté

La vision de l’eau évolue grandement au XVIIIe siècle: de la peur qu’elle véhicule des maladies, elle devient objet de propreté et de plaisirs. C’est à ce moment que l’image des eaux thermales d’Uriage connaît un tournant moderne pour renaître de la mare nauséabonde dans laquelle l’avait plongée le Moyen Âge.

À Uriage, on utilise donc des « cuvettes à pot à eau »; l’objet n’est déjà plus très courant dans la capitale française, mais on en trouve six au château. Cinq des six sont disposées dans les chambres, témoignant d’une pratique intime de l’hygiène – et certainement nouvelle.

Les sources d’eau sont rares dans les bâtiments; ainsi, il n’y a qu’une « fontaine en éteing » [sic] qui permet de se laver les mains pendant les repas. Elle représente le principal robinet du foyer. Comme on le voit au début du XIXe siècle sous les Saint-Ferriol, un système de bâches ou de cuves récupérant l’eau de pluie sous les toits de « châteauneuf » permet certainement un débit modeste mais régulier à ce point d’eau.

Le dernier baron d’Uriage dispose aussi d’un « grand bain en cuivre », témoin de son adoption des mœurs hygiéniques personnelles les plus modernes. Une toilette partielle devient, sur l’exemple des antiques, quasi-quotidienne et surtout personnelle. On trouve, au milieu des vieux livres de la (modeste) bibliothèque du château du premier étage de « châteauneuf », un bidet; là aussi signe précurseur d’une modernité bourgeoise à laquelle toute la noblesse d’épée n’a pas encore accès.

Pour les femmes comme pour les hommes, quatre « petits miroirs de toilette », trouvés dans des tiroirs, ainsi qu’une « petite table bois noyer avec des petits tiroirs et un miroir » attestent une pratique de la beauté des propriétaires du château. Une « seringue » est également trouvée parmi les affaires de toilette: elle sert le plus souvent aux lavements ou à nettoyer les plaies1. Mais le chercheur Michel Figeac interroge cet usage et propose également qu’elle soit utilisée comme outil d’hygiène féminine au siècle des Lumières7.

On trouve encore au château à cette époque, dans des pots en faïence, de l’orviétan: sorte de remède de charlatan supposé guérir la plupart des maux rencontrés durant l’année, depuis la gale jusqu’à la peste en passant par une morsure venimeuse ou encore la goutte.

Linge de maison

Pendant qu’en centre-ville on a recours aux blanchisseuses pour l’entretien de son linge de maison, à Uriage on se doit d’être autonome. Lorsqu’il est sale, le linge est placé dans un « déchargeoir » du premier étage, puis transporté dans des paniers en osier jusqu’au hangar du châtelet. Il est ensuite lavé dans des « cuviers » dans lesquels on verse de l’eau chaude, du sel, de la cendre et de la soude (ingrédients du savon de Marseille); le lavage à la main s’effectue puis le linge est transporté jusqu’au grenier et étendu sur sa « corde de laissive »1. Presque sec, il est repassé au fer (la maison compte six fers à repasser) puis rangé au même étage sur de larges étagères.

Décoration d’intérieur

Les revêtements muraux les plus courants au château au XVIIIe siècle sont les tapisseries, héritées des deux siècles précédents et de la coutume d’une cour de France itinérante jusqu’au début du XVIIe siècle. On connaît entre autres les fameuses tapisseries « de chasse » du château, illustrant François Ier, à présent à Chambord.

D’autres revêtements, plus personnels, montrent une certaine adhésion de l’hôte à la modernité de son temps; fait étonnant, il semble même parer le château de plus de modernité stylistique intérieure que son logis et bureau du centre-ville: au premier étage dans l’une des chambres se trouve des tissus muraux « en étoffe à granule rayé gris et blanche et rouge » [sic]. Il s’agit là des premiers tissus muraux au château. C’est un revêtement moins coûteux que la tapisserie, mais très coloré et surtout de la dernière mode à Paris…

On notera la présence de « papier collé vert et gris » dans l’une des chambres au premier étage de châteauneuf; il s’agit certainement là aussi du premier papier peint que connaît le château, car c’est un outil de décoration nouveau, même à Paris en cette époque.

Des boiseries, symbole d’un foyer aisé, agrémentent deux salles de réception à côté du « salon à manger ». Le bois sculpté, bien que coûteux, reste un atout pour l’isolation des pièces.

Côté peinture, les intérieurs sont déjà assez riches et personnalisés: on aime exposer ses ancêtres, les précédents propriétaires des lieux, ou encore quelques tableaux de maîtres italiens et français dans les espaces « privés » comme « de réception »1.

L’exotisme est loin d’être absent des intérieurs grenoblois; pour preuve, des tissus « d’indienne rouge » qui parent les fenêtres du château, notamment dans le cabinet personnel du baron. Les intérieurs, tout comme le mobilier du XVIIIe siècle, sont donc généralement hautement colorés et – après l’apparition de la commode et du secrétaire au XVIIIe siècle – l’on ne tolère guère plus que quelques massifs meubles de rangement en bois sombre, conservés pour leur utilité.

Loisirs

Enfin, lorsque tout le travail d’intérieur est terminé, Langon apprécie ses extérieurs: « à la française » et maçonnés à deux pas de chez lui en centre-ville; sauvages, alpins et rustiques autour du château. Sur les coteaux de Belledonne, on chasse les « bêtes noires » (cerfs, biches, daims, chevreuils), le « petit gibier » (lapins, chevreaux, perdrix) ou encore les « bêtes féroces » (loups, ours, renards)… les neuf « vieux fusils » du baron lui assurent une chasse prospère et entre amis.

Lorsque Langon et son épouse ne sont pas attablés avec leurs invités, ils écrivent leur courrier ou pratiquent la musique – un clavecin en bois de noyer y est inventorié.

Lors de journées grises, les tables de jeux de société sont très prisées à Uriage: trictrac, dames, échecs, cartes, dés et cornets sont alors de mise pour tous les goûts… des pièces du château sont différenciées selon que l’on pratique un jeu « intimiste » ou à plusieurs joueurs, ou encore s’il s’agit d’un jeu d’argent.

La partie de dames au café Lamblin, à Paris, par Louis-Léopold Boilly.
Image: Domaine public / Wikimedia Commons.


Texte sous licence libre CC0

Sauf mention spéciale, images libres de droits


Références:

  1. Floriane Brion, J’irai dormir chez vous. Vie ordinaire et « extraordinaire » d’un noble d’épée entre Grenoble et Uriage, d’après les inventaires révolutionnaires de ses biens et le catalogue de sa bibliothèque. Histoire. 2015. [Lire en ligne]
  2. Clarisse Coulomb, Les Pères de la patrie. La société parlementaire en Dauphiné au temps des Lumières, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2006, p. 205.
  3. Clarisse Coulomb, Les Pères de la patrie. La société parlementaire en Dauphiné au temps des Lumières, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2006, p. 206.
  4. ADI9J262, 18 frimaire an III, Lettre de Gauthier représentant du peuple concernant la levée des séquestres.
  5. Antoine Furetière, Dictionnaire universel, Seconde édition revüe, corrigée, augmentée par Monsieur Basnage de Bauval
  6. Alain Corbin, Le miasme et la jonquille, Champs Flammarion, 2001, p. 110.
  7. Michel Figeac, Destins de la noblesse bordelaise, éd. Mimesis, 2016, p. 190.

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