Que l’on soit admiratif ou critique, rarement indifférent, on ne peut pas nier que Napoléon Bonaparte a façonné la France de telle manière que son empreinte est toujours considérable aujourd’hui, dans l’administration française (valeurs révolutionnaires, institutions, Code civil, éducation, etc.) mais aussi dans l’esprit de nos voisins européens.
A l’occasion du bicentenaire de la mort de Napoléon Bonaparte (le 5 mai 1821, durant son exil sur l’île de Sainte-Hélène), nous vous proposons de redécouvrir un de nos articles paru l’année dernière, sur les traces laissées par cet illustre personnage lors de son passage dans notre région, revenant de l’île d’Elbe par les Alpes pour ce qu’on appellera les Cent-Jours…
Lire l’article « La Route Napoléon » sur notre site.
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Laissons l’auteur grenoblois Stendhal* conclure cet article :
« […] Bonaparte, lieutenant obscure et sans fortune, s’était fait le maître du monde avec son épée. » (Le Rouge et le Noir)
« Le grand homme est comme l’aigle ; plus il s’élève, moins il est visible, et il est puni de sa grandeur par la solitude de l’âme. »
« Cent ans après sa mort, le plus grand bonheur qui puisse arriver à un grand homme, c’est d’avoir des ennemis. »
* Henri Beyle (1783-1842), futur Stendhal, contemporain, témoin et acteur privilégié des campagnes militaires de Napoléon, en rend compte en direct dans ses journaux et dans sa correspondance personnelle. Stendhal éprouve lui-même de l’admiration pour les qualités de stratège et d’administrateur de Napoléon, mais il exècre sa tyrannie.
Un avis sur « Bicentenaire de la mort de Napoléon – La Route Napoléon »